Il existe de multiples supports sur la voie de la connaissance de soi et du monde. En fonction des époques et des civilisations, les lettres et symboles varient, et ont souvent un sens caché, réservé à ceux que l’on dit « initiés ». C’est-à-dire, ceux qui les ont appris et intégrés, expérimentés.
On peut trouver de nombreuses correspondances entre ces diverses voies de par le monde, puisque l’humain, à travers son expérience sur terre, a de tout temps dû donner du sens à des phénomènes communs, tels que le rythme des saisons, la vie, la mort, ou les épreuves.
Le Yi Jing et les Runes sont les deux voies principales qui se sont présentées sur mon chemin, et que je comprends et ressens suffisamment pour en témoigner.
De deux origines totalement différentes, ces voies nous parlent d’un point de vue spécifique.
Le Yi Jing est issu de la Chine ancienne, et est selon moi très pragmatique, répondant très précisément à des questions de choix, comme un « Art de la Guerre ».
Les runes viennent de la vieille tradition germano-scandinave, du Nord, un monde un peu sombre, où le climat est souvent rude. Elles vont nous chercher dans ce qui dort, ce qui demande à être réveillé.
Laissez-les vous parler…
